Eh ! c'est à nouveau mercredi et quand on est MHF, Cathy, Sandrine, Melina, Clem, Cerysette, Lilith, Kadel, Béatrice ou quelques autres, on réfléchit à ce que l'on pourra présenter comme « Première fois ».
Alors, vous savez quoi ? on a choisi de coller à l'actualité, de parler de nos premières expériences autour de la fête d'Halloween qui tombe justement aujourd'hui. Et puis quoi encore ? Le sujet ne m'inspire vraiment pas. je n'ai aucun souvenir de cette célébration venue d'ailleurs dans mon enfance lointaine. Quand bien même la pratique eut elle été courante à l'époque, sa teneur ouvertement païenne l'aurait à coup sûr banni dans ma sainte famille. Voilà donc une coutume que je découvris à l'âge adulte et qui jamais ne suscita chez moi quelqu'engouement que ce soit.
Faut pourtant que j'en fasse quelque chose, d'autant que Virginie B. dont j'apprécie la lecture et les défis photos nous demande de publier une photo sur le thème ce qui suffit à me donner l'envie de participer, même si je n'aspire pas à gagner une Monster High. (Je pourrais pourtant l'offrir à l'une de mes petites filles qui l'apprécierait sans doute) Voici l'occasion, pour la Première fois de mixer deux de mes petits plaisirs du Web.
Mon potager n'abrite pas de citrouille, mais le chat Charles qui a la couleur adéquate s'y réfugie parfois et je le suspecte souvent d'être un peu sorcier.
Pour complêter cette approche, j'ai aussi piqué une image au site King.com sur lequel je passe un temps fou, ce qui m'empêche souvent d'accorder assez d'importance aux charmants défis auxquels je souhaite m'adonner. Jamais je ne serai sérieux, la semaine dernière c'eut été pour moi un gageure inatteignable de trouver quel événement marque mon entrée dans la peau d'adulte... j'sais pas, je mets toujours mes doigts dans le nez, et vous ne me changerez plus maintenant, il est trop tard, je me suis enkysté dans mon statut de vieil en fant. Je me suis aussi fendu d'un petit poème acrostiche en vers de mirliton ci dessous incrusté :
Honte à celui qui ferme la fenêtre
Au lieu de sourire et d’apparaître
Lorsque surviennent les enfants
Longtemps resté les bras ballants
Oubliant les parures éphémères
Wallou ! vous n’aurez rien, j’espère
Encore que ces déguisements
Evitent d’attiser les tourments
Nocturnes du petit notaire…
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Et puis enfin, car il faut parfois revenir au sérieux, je voudrais rappeler que tous les quatre ans, chaque année bissextile, le premier mardi qui suit Halloween, on risque de voir s'avancer des sorciers qui vous font froid dans le dos. Manquerait plus que ça, je souhaite que là bas, le changement ce ne soit pas maintenant !