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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 08:00
Et puis voilà-t-il pas que MHF, sur le point de s'envoler pour l'Asie lointaine, nous suggère dévoquer notre premier voyage lointain dans le cadre de nosPremières fois du mercredi...

Avril 1993, alors que, n'y ayant encore jamais goûté, j'imaginais n'avoir aucun intéret pour le voyage, ma princesse décide de profiter d'une opportunité présentée par le Comité d'Entreprise et que nous partions pour des vacances idylliques au Kenya ! Avec mes parents, nous avions franchi une fois la frontière pour aller jusqu'à Florence profiter du coût plus abordable des vêtements en Italie à l'époque. J'étais retourné en Lombardie, avec mon amoureuse, juste avant que nous nous mariions. Plus tard, devenus parents, nous sommes allés en famille jusqu'à Barcelone, puis Londres, et voilà toute l'expérience de voyage à l'étranger que j'avais à l'époque...

Le départ fut difficile. Prévu depuis Orly, nous y sommes arrivés, comme c'est l'usage, plusieurs heures avant l'embarquement pour accomplir toutes les formalités nécessaires. Au bout d'un long moment d'attente, on nous annonça que l'avion ne pouvait pas partir : malencontreusement, un oiseau avait pénétré dans un réacteur. On nous servit donc une collation pour tromper l'attente qui dura encore... Un peu plus tard, la nuit étant tombée, on nous dit que nous ne pouvions plus partir d'Orly, les pistes n'y étant pas utilisées la nuit et on nous mena à Roissy en car poursuivre notre attente et prendre une nouvelle collation et passer la nuit sur les banquettes de la salle d'embarquement... Le départ eut finalement lieu le lendemain matin, amputant le programme du séjour de presque une journée, ce qui ne l'empêcha pas d'être fabuleux, le circuit nous menant de réserves en lodges où toute nouveauté nous émerveillait. Tsavo, la rivière Mara et ses guerriers Masaïs, Ambosele et le lac Nakuru,les crabes encore tièdes dégustés dans un auberge sur l'île de Wasini, vingt ans après les souvenirs restent vifs et émerveillés et, contrariant mes préjugés, j'ai pris goût au voyage ! 

Partagez-vous,  Marie Hélène,  Lilith,  Cerysette,  CathyJoufflette,  Matriochka,   Zette,  Laora , Sandrine Cambroussienne, entre autres,  le goût de l'exotisme ?

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9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 08:00

 

C'est mercredi !         Ayant surmonté toutes nos déceptions (  excusez-moi, Marie Hélène,  Lilith,  Cerysette,  CathyJoufflette,  Matriochka,   Zette,  Laora , Sandrine Cambroussienne,  je n'ai pas participé la semaine dernière, trop meurtri peut-être par de multiples camouflets que je n'aurais pas su exposer) nous avons décidé cette semaine de vous parler de nos Premières fois face à une galette des rois.

Sans-titre-copie-9-copie-1.jpg

Premier souvenir datant de mon enfance normande : la fête familiale autour du gateau présenté au dessert, tout doré et croquant et aussi cette habitude coutumière que je n'ai retrouvé nulle part : guetter l'instant où le roi désigné par la fève, dûment coiffé de la couronne de bristol doré, commence à soulever son verre pou scander tous en chœur : « LE ROI BOIT ! LE ROI BOIT... » jusqu'à ce que ce dernier éclate de rire et s'étrangle de la gorgée qu'il cherchait à avaler.

Je veux aussi vous parler d'une autre découverte, datant de mon arrivée à Marseille (il y a parfois plusieurs premières fois) et la découverte du Gateau des Rois, totalement ignoré jusqu'alors : une couronne de brioche parfumée à la fleur d'oranger, décorée somptueusement de fruits confits aussi brillants que ceux d'une véritable couronne royale, et renfermant, comme la galette normande, un petit personnage de faïence mais aussi une vraie fêve, la graine de légumineuse. On nous expliqua que c'était la fève qui désignait le roi, la miniature était quand à elle appelée le sujet et désignait celui qui devait servir le roi...

J'aime encore, bien des années après découvrir encore des coutumes nouvelles. Avez-vous de ces curiosités ?

 

 

 

 

 

Les rois mages  Edmond Rostand

Ils perdirent l'étoile, un soir ; pourquoi perd-on
L'étoile ? Pour l'avoir parfois trop regardée
Les deux rois blancs, étant des savants de Chaldée 
Tracèrent sur le sol des cercles au bâton

Il firent des calculs, grattèrent leur menton
Mais l'étoile avait fui, comme fuit une idée
Et ces hommes dont l'âme eut soif d'être guidée
Pleurèrent, en dressant des tentes de coton

Mais le pauvre Roi noir, méprisé des deux autres
Se dit "pensons aux soifs qui ne sont pas les nôtres,
Il faut donner quand même à boire aux animaux"

Et, tandis  qu'il tenait son seau d'eau par son anse
Dans l'humble rond de ciel ou buvaient les chameaux
Il vit l'Etoile d'or, qui dansait en silence. 

 

 


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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 22:56

C'est Mercredi, c'est première fois, c'est aussi le lendemain de Noël, de festivités en famille, agréables certes mais aussi bien fatigantes. Ne m'en voulez pas  Marie Hélène,  Lilith,  Cerysette,  CathyJoufflette,  Matriochka,   Zette,  Laora , Sandrine Cambroussienne , j'ai quelques difficultés pour retrouver mes esprits et vous parler de ma relation au père Noël...

Je sais bien que vous aurez de la peine à le croire, mais je n'ai jamais  cru en lui ! Il faut que je vous explique : ma maman, depuis notre plus jeune âge, nous expliquait qu'il ne faut jamais mentir aux enfants. Le Père Noël est une invention des méchants marchands, ce n'est pas lui qui apporte les jouets, c'est le petit Jésus en personne qui se dérange pour que nous fêtions son anniversaire !

Comment voudriez-vous que je ne sois pas un petit peu dérangé ? Je sollicite donc votre indulgence...

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 08:00

http://3.bp.blogspot.com/-lN8HAX_pVhk/ULnnPmHuhJI/AAAAAAAAQt0/L2XqB5YNpyA/s1600/Calendrier+Maya.jpg

On pourrait croire que les joyeux amis des Premières Fois ignorent qu'il n'y en aura plus jamais d'autre. En effet  Marie Hélène,  Lilith,  Cerysette,  CathyJoufflette,  Matriochka,   Zette,  Laora , Sandrine Cambroussienne ont décidé cette semaine de parler de leur premier sapin plutôt que nous  consacrions  la dernière fois à nous souvenir de notre  première fin du monde... Quel manque d'à propos, vous m'avouerez !

(J'ai trouvé l'image ci  dessus dans "Le journal de Feanor" qui propose mille façons de passer le temps.)

sapin-copie-1.jpg

Enfin, trève de balivernes, je vais vous parler du sapin du jardin de Madame Marc puisque c'est le premier dont je me souviens. Ah, ce sapin, c'était un  monument ! Il ne passait pas inaperçu, fièrement installé au bord  de la route, tout près du portillon du jardin, il dépassait de beaucoup tous les autres arbres de la région, essentiellement des pommiers à cidre et même le vieux noyer dont j'étais pourtant si fier, devant la porte de la cuisine .

Cet arbre était si touffu qu'on ne distinguait rien dans son feuillage sombre, mais on supposait qu'il était habité de mille oiseaux fabuleux dont la vue nous aurait terrifiés. des hiboux, des chouettes, des serpentaires , d'horribles moineaux hérissés de griffes tranchantes. Le tout écrasant la petite maison de Madame Marc, au bout de l'allée dans laquelle poussaient, été comme hiver, de petites pensées aux pétales en velours violet. Madame Marc était veuve. On n'avait pas connu son mari mais on savait qu'elle avait une fille qui venait parfois lui rendre visite. Elle avait la réputation de savoir enlever le feu, on pensait qu'elle était corse, ce qui suffisait à la rendre suspecte dans ce bocage normand. On ne la voyait jamais à l'église mais nous devions pourtant nous montrer courtois avec elle, la saluant aimablement lorsque nous la découvrions penchée sur la  plate bande où elle faisait pousser quelques légumes, même si notre bonjour ne suscitait jamais qu'un haussement d'épaule. La petite femme vétue de noir rentrait vite se mettre à l'abri dans sa maisonnette, et nous rentrions nous aussi dans la nôtre, vaguement génés ou bien pris d'un fou rire que nous ne pouvions, ni ne voulions expliquer à nos parents surpris de nous voir si gais.

Oui, voilà bien mon premier souvenir de sapin. Ce n'était pas un sapin de Noël, je ne pense pas qu'il ait jamais été porteur de boules ni de guirlandes, c'est un sapin de tous les jours et de toutes les inquiétudes mais j'en garde un souvenir ému et j'ai presque été triste de découvrir qu'il avait été abattu lorsque je suis retourné par là, après avoir laissé passer une cinquantaine d'années. Mon noyer bien aimé avait disparu lui aussi. Les nouveaux propriétaires de la maison disaient qu'il devenait dangereux...

Pas de souvenir de sapin décoré dans la maison de ma petite enfance. Seule la crèche venait marquer le temps de Noël.

 


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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 08:00

Sans-titre-copie-9.jpg

Mercredi, première fois qu'allons nous trouver à vous raconter pour nous faire un peu de pub ? Parce que, n'en doutons pas, si nous passons autant de temps à alimenter nos blogs, qui que nous soyons ( Marie Hélène,  Lilith,  Cerysette,  CathyJoufflette,  Matriochka,   Zette,  Laora  par exemple) c'est bien pour nous faire de la publicité, pour persuader les autres que nous sommes les plus beaux, les plus aimables, que c'est nous qu'il faut acheter pour mettre sous l'arbre de Noël !

L'idée est venue cette semaine de Sandrine Cambroussienne. Les pieds dans l'herbe, elle nous suggère  «Première pub dont on se souvient ». Je ne prétend pas que ça m'emballe, j'ai souvent l'impression que la publicité m'oppresse, qu'elle m'étouffe, mais allons y pourtant.

Dans mon enfance, nous ne voyions pas la télévision, nous n'allions pas au cinéma mais il y a vait pourtant de la pub autour de nous. Il me semble que le premier souvenir a le parfum des savonnettes. A cette époque là, les grandes personnes qui voyaient un petit enfant ne pouvaient pas s'empêcher de dire « Oh ! qu'il est mignon, c'est un vrai Bébé Cadum »savoncadum.jpgMes souvenirs sont aussi des souvenirs sonores. La petite musique de la "Boldoflorine" trotte encore dans ma tête.

Enfin, mon premier souvenir de pub au cinéma, c'est bien sûr la silhouette du petit mineur qui s'agitait devant nos yeux nous incitant à appeler BAL 00 01 !


http://cdn-images.deezer.com/images/cover/9db2d9c5be3a2b60ddd4fd6ccb1e62c1/315x315-000000-80-0-0.jpg


 
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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 08:00

La chanson qui vous accompagne, qui la première a compté pour vous, qui entre dans la composition secrète de votre personnalité voici la variante qu'a trouvée MHF pour notre nouvelle « Première fois », eh bien chiche ! collons-nous y Cathy,  Radegonde,  Beth ,  LilithJoufflette,  Emma ,  quelques autres, laissons  vagabonder notre mémoire, rappelons nous ces notes qui nous ont constitués dans l'esprit de nos Sans titre-copie-1

Les temps ont bien changé, les façons d'entendre la musique elles aussi. Nous n'étions pas autant envahis par les ritournelles et je suis certain que mes premiers éveils musicaux sont dûs aux comptines que me chantaient ma mère, ma grand-mère, ma marraine ou quelque grande cousine. Celle que j'évoque ce soir est « Le Carillon de Vendôme »

, ce qui montre bien la dimension monarchiste de ma famille ! Il y avait aussi cette «Quand Madame s'en va-t-au bois »

sur le modèle de « À cheval sur mon bidet » 

et que je ne retrouve ni avec Google® ni sur Deezer®.
Plus grand, lorsque j'eus des instruments pour écouter des rengaines plus modernes et quand j'entrepris de plaire et de séduire, Camilio Felgen et son  « Sag Warum 
» 
m'ont beaucoup fait rêver. 
J'apprenais l'Allemand à l'école et l'Allemagne exerçait une certaine fascination sur moi...




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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 08:00

Sans titre-copie-1

Mercredi première fois, les semaines se suivent, les habitudes se gardent (n'est-ce pas  Cathy,  mh,  Radegonde,  Beth ,  LilithJoufflette,  Emma ?) mais une certaine usure finit par apparaître. Faut dire que la lecture de l'historique du groupe montre que ça fait déjà plus de 20 mois, depuis le 9 mars 2011, que nous nous adonnons à ce petit jeu.  Ça réclame du souffle, aucune interruption depuis cette date, même pendant les périodes de congé, félicitations !

Une telle longévité est sans doute admirable, mais elle provoque inévitablement quelque difficulté et nous expose un jour ou l'autre  à un quelconque raté. C'est ce qui se produit cette semaine : nous sommes convenus de vous raconter notre tout premier souvenir et nous avions déjà programmé ce sujet là le 27 avril de l'année dernière. A l'époque, je n'avais pas répondu à l'appel, je ne me souviens plus pour quelle raison. Absence loin d'une connexion ADSL acceptable, paresse insurmontable ou pudeur exagérée ? Je n'en sais rien.

Je suis bien embarrassé pour choisir un premier souvenir à vous raconter. Tout se mélange dans ma petite tête, décidément je vieillis !nouveau-0046.JPGToujours est-il que tous les souvenirs archaïques que je retrouve sont terriblement marqués par le sexe ! il doit y avoir quelque chose de freudien là dedans mais il est parfaitement impossible que je vous les raconte ici : voyez-vous, mes petits enfant ne se contentent pas de faire des dessins pour mon anniversaire, les plus grandes d'entre eux peuvent d'aventure lire le blog de leur grand père !  vous admettrez-donc que je garde un silence pudique. Il est des hontes que l'on peut s'éviter ! A la semaine prochaine pour une autre Sans titre-copie-1http://pmcdn.priceminister.com/photo/mini-poster-encadre-sigmund-freud-what-s-on-a-man-s-mind-50x40-cm-3cm-cadre-alu-noir-affiches-887962142_ML.jpg 

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 08:00

Nouveau mercredi nouvelle première fois. Cette semaine, jai eu envie de relayer, en toute innocence, la demande que nous avait transmise Virginie B de parler de souhaits de départ et d'hôtel, et voilà que ça invite les 32 membres du groupe (par exemple MHF,  Cathy,   Sandrine,  MelinaClem,  Cerysette,   Lilith,  Kadel et Béatrice) à nous raconter leur première nuit d'hôtel.

Après longue réflexion, j'ai choisi de vous confier une anecdote sans précédent, à l'origine de toutes les premières fois qui me concernent : ma petite maman, qui n'avait pourtant pas coutume à parler gaudrioles, avait coutûme de dire que j'avais sans doute été conçu dans un hôtel près de la gare Montparnasse, une nuit où, mon papa et elle, attendaient le train qui devait les mener à Armenonville où ils résidaient les tous premier mois de leur mariage, début 1946.

Vous conviendrez que je ne pouvais rien trouver d'antérieur à cette première fois là !

http://www.perche-gouet.net/histoire/photos/communes/28011-00/12311.jpg

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 16:33

Il y a toujours une première fois et cette semaine Cathy nous invite à rassembler nos souvenirs de sortie scolaire.  Oh ! que c'est loin...

Sans-titre-copie-9.jpg

Je n'ai vraiment aucun souvenir de sortie scolaire en primaire. Je vous ai déjà raconté que ma scolarité a été un peu particulière et j'en ai de nombreux souvenirs, mais pas de sortie. Peut-être n'était-ce pas encore de mise dans les années 50 (eh oui, je suis un vieux crouton !) toujours est-il que le premier souvenir de sortie avec la classe date de ma quatrième, à mon arrivée à Marseille dans le Lycée pilote mixte dont je vous ai aussi déjà parlé.

13 ans, 14 peut-être, pour la première fois dans une école mixte et la prof de Français choisit de nous emmener un beau jour visiter Nîmes et sa Maison Carrée. Nous voici donc partis, un petite trentaine sans doute, autant de garçons que de filles à peu de choses près, à la découverte des vestiges gallo-romains quand nous sommes brutalement ramenés à la réalité de l'époque contemporaine par l'irruption d'un groupe bruyant et excité venant de sortir du « Conseil de Révision », c'est à dire l'instance qui déterminait, du temps du service militaire obligatoire pour les garçons,  l' aptitude à accomplir cette formalité. Nous nous sommes donc retrouvés submergés par de jeunes hommes sans doute bien émêchés qui tentaient d'embrasser toutes toutes les filles en hurlant « Bons pour l'armée, bons pour les filles ». Je me souviens des paroles qui se voulaient rassurantes de la prof nous expliquant qu'il s'agissait d'un folklore certes désagréable pour nous mais somme toute relativement innocent ainsi que de mon désappointement de ne rien pouvoir faire pour protéger mes petites camarades, d'autant que certaines d'entre elles semblaient être contentes de l'intérêt paillard qui leur était manifesté...

J'aurais voulu être le vaillant chevalier défendant l'honneur de sa dame, et je n'étais qu'un piètre paltoquet incapable d'intervenir dans une situation le dépassant.

Ah ! merci Cathy de raviver le souvenir de ce traumatisme !

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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 08:00

Pour cette semaine c'est Lilith Lo qui a choisi de nous emmener dans nos souvenirs de forêts et de champignons pour nos Premières FoisSans-titre-copie-1-copie-1 alors je vais la jouer à la paresseuse et elle  sera la seule que je citerai aujourd'hui.

Oh ! la forêt, c'est vraiment quelque chose qui compte pour moi, avec ses odeurs, ses splendeurs, ses frayeurs. accessoirement ses champignons, les mines de conspirateurs de ceux qui prétendent connaître le plus fameux coin à girolles qui soit, la mine de cèpes bolets que tous les autres ignorent...

Curieusement, alors que mon enfance s'est déroulée tout près de la forêt de Conches, ce n'est pas dans les bois que je suis allé chercher mes premiers souvenirs champignonniers mais encore plus près de la maison que nous habitions, dans les prés l'entourant où j'accompagnais tout petit maman à la cueillette des champignons de rosée qui poussaient au pied des pommiers à cidre dès la première averse. Ah ! merci Lilith et toute la joyeuse bande que je ne cite pas ici de raviver ainsi les souvenirs de cette enfance disparue à jamais !

DSCF1304.JPG



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