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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 22:25

 

 

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"Eh bien, papi, aurais tu du retard à l'allumage ? Faut-il que l'on te prête une manivelle ?" La jeune femme se gausse, elle sait bien qu'en fait ce retard est simplement dû à l'innocente vexation du vieillard que MHF n'a pas trouvé assez original la semaine dernière !

La coupe maison, on y a tous droit enfant ;-)

Commentaire n°5 posté par MHF il y a 5 jours à 20h35

C'est vrai, qu'est ce que je suis banal ! 

Réponse de papiluc il y a 5 jours à 22h30

Il m'est difficile d'évoquer ma première voiture, simplement parceque je n'arrive pas à choisir celle dont je vais vous parler. Je me souviens de la première voiture à friction que m'avait offert mon oncle Gérard, le plus jeune frère de mon père qui rentrait du Maroc pour nous présenter la belle dame corse qu'il avait épousé là bas à l'insu de ses parents... J'avais peut être déjà quelques Dinky Toys, mais celle là fut vraiment une première dont je me souviens encore.

Je me souviens aussi de la première voiture que j'ai conduit dans les pentes de la Vallée de la Grande Chartreuse. C'était la 2CV d'un certain Bernard avec lequel j'étais parti un été en camp d'adolescent avec quelques camarades du lycée, les Jeunes Étudiants Chrétiens, première manifestation d'indépendance vis à vis de la famille qui rejetait toute appartenance à un groupe quel qu'il soit. Je n'avais jamais été tenté d'essayer avant, alors que mes deux frères plus jeunes que moi manoeuvraient déjà régulièrement la 4CV de notre papa dans la petite rue tranquille que nous habitions alors.

Je pourrais aussi vous parler de la Daf 44 que possédait ma princesse lorsque je la courtisais. Cette voiture automatique que je conduisais alors que je n'avais pas de Permis. Il ne m'était pas venu à l'esprit de me présenter à cet examen, alors que je n'avais ni les moyens ni le désir de me payer une voiture. Je vous raconterais alors que j'ai été contrôlé à un barrage de police, une nuit de l'hiver 1970-71. Après que j'ai cherché en vain je permis que je ne possédais pas dans toutes mes poches, le jeune CRS qui me contrôlait, après m'avoir bien embêté,  je n'en menais pas large, finit par me dire "Demandez donc à mademoiselle de prendre le volant. Cela nous évitera de vérifications qui sont toujours fastidieuses" avant de nous laisser partir sans autre forme de procès.

Il faudrait aussi évoquer la première voiture que j'ai acheté, une 2CV, encore une fois, vendue d'occasion 1000 F, soit environ un mois de mon salaire de l'époque. Je n'avais toujours pas le Permis et je regrettai vite ce coup de tête et, heureusement, mon chêque fut refusé par la banque ce qui me permit de renoncer à cet achat sans que le garage puisse s'y opposer.

Voilà, mes amis de la première fois ZetteMHF, Orfeenix, Cortisone

HadalalibellaJulien et Lilith  , je vous laisse choisir la première voiture que vous préférez.

Vous savez quoi : j'avais oublié Joufflette  

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 18:10

Sans-titre.png

C'est reparti pour la joyeuse expérience que je partage 
avec de joyeux drilles (eh oui, le  masculin l'emporte)
 
deBlogitExpressZetteMHF,Orfeenix, Cortisone,

Hadalalibella, Julien et Lilith 

Vous me voyez désolé,les filles (vous êtes quand même sacrément majoritaires) je n'ai strictement aucun souvenir de mon premier passage sur le fauteuil d'un figaro dans un salon de  coiffure. J'ai beau battre le rappel de ma mémoire que certains n'hésitent pas à qualifier de phénoménale, pas le moindre petit parfum de calendrier publicitaire qui me revienne.

Il faut évidement convenir que chez le coiffeur, nous n'y allions pas. Je me refuse à me la  jouer misérables, mais le fait est que la dûreté économique de la période ne permettait pas ce genre de fantaisies dans notre famille déjà nombreuse. Le père avait hérité de je ne sais qui une paire de ciseaux de coiffeur, aux longues lames effilées, et il la gardait précieusement, collée à un aimant en forme de fer à cheval, au dessus de l'armoire de sa chambre, nous expliquant que l'aimant permettait aux lames de conserver leur tranchant. Lorsque nos tignasses devenaient trop abondantes, ma sœur et mes premiers frères,  passions à tour de rôle sur une chaise de la salle à manger, les épaules  recouvertes d'une large serviette, et nous étions soigneusement débroussaillés.
Je ne me souviens pas si notre mère subissait le même sort. Elle n'allait en tout cas jamais chez le coiffeur.  Elle gardait les cheveux très longs qu'elle arrangeait 
en un chignon. Il me semble, mais je n'en suis pas tout à fait sûr, qu'elle prenait ensuite les ciseaux et coupait les cheveux de son mari.
Ensuite, bien plus tard, lorsque jeune adulte un budget personnel me permit de m'offrir le coiffeur, le souvenir que je garde est que je n'osais pas, dans le lieu solennel et intimidant qu'est le salon de coiffure, refuser que l'on me laque le cheveu coiffé. Sitôt rentré à la maison, mon premier geste était de me mettre la tête sous le robinet pour retirer cette substance qui m'insupportait ! Il m'a fallu bien des années pour arriver à dire non au maître capillaire  "je préfère garder ça au naturel"
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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 17:50
Parfois je ne suis pas particulièrement inspiré parSans titre-copie-1
 que proposent mes copines ZetteMHF,Orfeenix, Cortisone,Hadalalibella et Lilith lorsque nous délirons conversons dans le Salon que nous a concocté Damdam valeureux éleveur de boulets dans la blogosphère. Je n'arrive pas à évoquer le moindre souvenir de mon entrée sur la toile. Je ne sais que je m'y retrouve empêtré depuis bien des années. Mon premier fournisseur d'accès fut Club Internet, conseillé par mes enfants qui étaient (déjà) en avance sur leur papa. C'était au siècle dernier, mons employeur de l'époque, une petite association, ne s'était pas encore éqipé. Le seul ordinateur était celui de la secrétaire, son utilisation limitée au traitement de texte...
Les temps ont bien changé et je me sens bien vieux... 
Club Internet

 

Dernier logo de Club Internet
 
Création octobre 1995
Disparition 10 juin 2009
Fondateur(s) Groupe Lagardère
 
Slogan(s) « Vous êtes en bonne compagnie »
Société mère Groupe Lagardère
Deutsche Telekom
SFR

Club Internetfut l'un des plus anciensfournisseurs d'accès à Internetfrançais, créé enoctobre1995par legroupe Lagardère.

Elle devient la filiale française deT-Online International AGenfévrier2000, l'activité Internet deDeutsche Telekom. Enjuin2006, Club Internet / T-Online France devient une filiale directe du groupeDeutsche Telekom.

Le2juillet2007, Club Internet / T-Online France est racheté par le groupeNeuf Cegetel.1

En 2009, c'est enfin au tour deNeuf-Cegetelde disparaître au profit de la marqueSFR.

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 18:47

Sans titre-copie-1 

Et toi, ta première paye, t'en a fait quoi ?

La toute première, je ne m'en souviens pas vraiment, j'ai dû utiliser ce premier argent gagné honnêtement de la même façon que celui que je m'appropriais de manière frauduleuse : cigarettes, demis au bar, parties de flipper...

 

DSCF9291.JPGIl me semble pourtant que c'est avec cet argent que je me suis offert mon premier livre relié, trouvé sur l'étal d'un "Livres neufs à prix réduit" sur un marché vers la place Castellane. Je l'avais choisi parce que son titre, son aspect m'avaient séduit mais j'ignorais totalement de quoi il s'agissait (on n'étudiait pas Lautréamont à l'école dans les sixties). Je n'ai pas été déçu par ce premier achat et je le relis encore parfois.

      Il reste un signet, page 175, Chant deuxième, 16.

 

 

 

« Il est temps de serrer les freins à mon inspiration, et de m'arrêter, un instant, en route, comme quand on regarde le vagin d'une femme ; il est bon d'examiner la carrière parcourue, et de s'élancer, ensuite, les membres reposés, d'un bond impétueux. Fournir une traite d'une seule haleine n'est pas facile ; et les ailes se fatiguent beaucoup, dans un vol élevé, sans espérance et sans remords. »

  
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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 07:00

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Sans titre-copie-1

L'aventure continue. On se raconte des premières fois et le choix de cette semaine s'est porté sur

"Ton premier animal familier"

Je me rend compte que nous n'étions pas très animaux de compagnie dans la famille. Il y avait deux chattes qui étaient attachées à la maison de mon enfance, la plus vieille était connue sous le nom de la Guenuche et je n'ai pas le souvenir qu'on ait attribué à l'autre, sa fille sans doute, un nom qui permette de la reconnaître. Lorsqu'on l'évoquait il me semble qu'on disait la grise, ce n'était qu'un adjectif, personne ne semblait avoir jamais ressenti l'utilité de la nommer. Elles passaient de temps en temps, sans doute dans l'espoir que quelque reste de repas ait été mis de côté à leur intention. Elles ne quémandaient pas de caresses, les habitants de la maison ne leurcharles-copie-1.JPG en prodiguaient pas non plus. Il toléraient ce passage, je n'ai jamais vu un adulte de la maison brandir un balai pour chasser les chats. Il se peut que ces derniers aient déjà eu leurs habitudes dans cette maison avant que nous arrivions, que ce soit donc eux qui avaient fait démonstration de tolérance en admettant que nous venions nous installer dans leur domaine. En tout cas, l'existence des humains et des animaux s'harmonisait d'une façon somme toute naturelle, sans que j'ai jamais entendu ma grand mère, mes parents ou quelqu'autre adulte demeurant là affirmer une autorité sur l'une ou l'autre en l'affublant d'un adjectif possessif. C'étaient des chattes, en aucune manière nos chattes.

lion-copie-1.JPGPlus tard, il y a eu des animaux dans notre environnement, mais ils n'avaient rien de familier. Mon père se lança dans l'élevage de poules pondeuses pour complêter par la vente des œufs l'insuffisance de sa pension de grand invalide de guerre. Plus de cent poules dans le pré qui jouxtait la maison, c'était quelque chose mais vraiment rien de familier. L'idée d'en choyer une plus que les autres, de lui attribuer un petit nom qui permettrait de la reconnaitre et d'être reconnu par elle ne venait vraiment à personne, adulte ou enfant. Une autre année il y a eu une truie qu'on a engraissé dans la cour. Ce n'était toujours pas un animal familier mais il y avait quand même une proximité différente qu'avec les poules. Peut être parce qu'elle était unique, ce qui entraine un œil plus attentif que pour une basse cour indifférenciée. Elle nécessitait des soins différents, et puis  j'avais grandi, je pouvais m'investir plus dans l'action de faire cuire des "pommes de terre à cochon" et y trouver plus d'intérêt que dans le geste de jeter des grains aux poules en les appelant "Petit, petit, petit !"

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 07:00

 

Allons, rappelons le principe : depuis quelques semaines,   Zette,  MHF Orfeenix, Cortisone  et Lilith, en papotant au salon de Sans-titre-copie-3.jpg,  ont eu une nouvelle idée.
–« Si on se racontait nos premières fois ? On choisirait un thème le lundi et, le mercredi on raconterait dans nos blogs des premières fois bien réelles ~ou bien alors complêtement inventées, va savoir, on est tellement malignes ! »
  et moi, le papi, toujours un peu désappointé de n'avoir jamais été une belle jeune femme, j'ai eu l'envie de m'immiscer dans leur groupe. Ah ! le retour du printemps vous donne parfois de ces idées ! 

Cette semaine, après quelques hésitations,  la majorité (j'aime ces moments péri-électoraux) a choisi de se souvenir de son

premier appartement !

Approchez vous, mes petites filles, je vais vous raconter... Nous étions à la fin de l'année 1968, j'avais terminé ma formation au centre FPA de La Treille. J'avais trouvé un travail qui occupait mes journées et mes nuits étaient consacrées à trainer dans Marseille avec des copains de rencontre, à imaginer que nous étions  les artistes  qui révolutionneraient les prochaines années... Autant dire que je n'étais plus souvent à la maison. Tout à la fierté  de mon accès au statut de travailleur salarié, je suis allé trouver mon père pour lui proposer de participer financièrement  à la vie de la famille. Refus indigné de celui ci et du coup, caractériel comme je l'étais déjà, ma première ambition fut de m'en aller, partir vivre ma vie. Les choses ne sont pas si simples et, lorsqu'on est jeune salarié, pas moyen d'obtenir une location sans avoir la caution de ses parents, et c'est donc ma maman qui m'accompagna pour que je puisse emménager dans une chambre de bonne meublée dans les combles d'un immeuble hausmanien du boulevard d'Athènes, tout près de la gare Saint Charles. Tu parles d'une autonomie !

Paradoxe, cette chambre,  je ne pouvais l'obtenir qu'en en tant qu'étudiant, Je m'étais  inscrit aux cours du soir du CNAM, ce qui me permettait aussi d'aller manger au restaurant universitaire. Je me souviens du montant du loyer : 80 F mensuels, C'est à dire presque le quart de mon salaire de l'époque. Pas de salle de bain ni de douche, bien entendu. Y avait il  un lavabo et un robinet dans la chambre ou bien fallait il aller dans le couloir pour prendre un peu d'eau ou se débarbouiller ? Ça je ne m'en souviens plus. En tout cas le seul WC pour l'ensemble des chambres était à mi-étage, entre le cinquième et les combles et il n'y avait bien sûr pas d'ascenseur.  

Pas question non plus de faire de la cuisine "C'est une chambre et ça doit rester une chambre, mon garçon, et ne vous avisez pas de faire monter des petites amies !" J'avais quand même introduit frauduleusement un camping-gaz pour faire chauffer mon Nescafé du matin, mais jamais la moindre petite amie ! Il faut dire que je ne suis pas resté longtemps là et que j'étais encore alors chaste et pur ! 

Capturer-copie-5.JPG

 

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 08:00

Sans-titre-copie-1.jpg

 

 

Depuis trois semaines, un groupe de filles ,  Zette,  MHFOrfeenix, Cortisone  et Lilithqui papotent au salon de Sans-titre-copie-3.jpg  ont eu une nouvelle idée.

 –« Si on se racontait nos premières fois ? On choisirait un thème le lundi et, le mercredi on raconterait dans nos blogs des premières fois bien réelles ~ou bien alors complêtement inventées, va savoir, on est tellement malignes ! »

Eh bien, vous savez quoi, j'ai toujours rêvé de faire partie d'un groupe de filles. Que voulez vous, je n'ai eu qu'une seule sœur et six frères plus jeunes que moi. J'ai subi un manque, c'est sûr.

La première semaine, elles ont choisi de parler de leur premier amour : le premier jour... J'ai mobilisé ma mémoire mais ma timidité m'a empêché de vous éblouir de premières amours merveilleuses que j'aurais inventées pour l'occasion. 

La deuxième semaine c'était le premier cinéma. On peut dire que je me fais du cinéma, et ce depuis tout petit, mais outre cette tendance à me faire mousser, je suis aussi extrèmement paresseux, et j'ai laissé passer la date fatidique du mercredi sans vous dire que j'avais vu avant 1955 Le Ballon Rouge  et Crin Blanc d'Albert Lamorisse.

Cette semaine le thème est le premier boulot. Et me souvenir de ça me fait mesurer comme les temps ont changé ! Il faut dire qu'il ne date pas d'hier mon premier boulot d'été : 1964, j'en connais deux ou trois parmi vous qui n'étaient pas nées... J'ai été embauché à la Poste de Saint Giniez, à Marseille, comme facteur remplaçant. Quand je vois les difficultés qu'ont les jeunes aujourd'hui à décrocher le moindre travail, même dans les entreprises employent leurs parents et que je me souviens de cette embauche sans que j'ai été présenté par personne, je me rends compte que nous ne vivons plus dans le même monde !

A l'époque, il y avait deux tournées du facteur par jour. Les journées étaient donc longues. Plus moyen de profiter de la plage. Quand on habite Marseille, c'est quand même rageant ! C'est là que mon souvenir de cette période me semble extraordinaire, vraiment de l'ordre du rêve. J'enviais les collègues qui travaillaient au tri et qui avaient des horaires d'équipe : 4h - 11h un jour et 15h - 22h le lendemain. J'ai dû en parler à mon "chef" qui m'a expliqué qu'il ne pouvait pas me mettre sur un poste de tri, parce que le bac était exigé pour cela (j'étais en seconde) mais qui m'a proposé de prendre un poste de manutentionnaire avec ces horaires là. Tout ça sur une durée de 4 ou 5 semaines ! Je pus donc aller me baigner à la plage de la Pointe Rouge tout en continuant de travailler. L'anecdote dont je me souviens le mieux correspond à la période où je faisais le facteur à pied. Ma tournée se situait au Roucas Blanc, un quartier central de Marseille, sur les flancs de la colline de Notre Dame de la Garde. Peu d'immeubles, mais surtout des maisons de ville. On distribuait le courrier et les journaux, bien sûr, mais aussi des mandats qui permettaient d'entrer dans ces maisons, je me souviens avoir toujours été bien reçu. Un sourire, quelquefois un petit verre ou même quelques centimes de pourboire ! la vie était belle. Un beau jour, j'ai eu un mandat de 1000 F à porter. Plus de deux fois la paye du mois ! C'etait pour une école privée dont les bureaux etaient au fond d'un parc qui m'apparût immense. J'eus l'impression de marcher dans ce parc presque autant que  toute la tournée habituelle. J'ai donné les billets, ce qui me semblait être une fortune considérable et j'ai eu l'impression que cela ne représentait rien. Je suis reparti, sans doute avec un merci discret, mais sans un centime de pourboire, ressentant comme une injustice. Je me rends compte maintenant que c'était normal. La petite grand mère pas riche du tout à la quelle l'apportais une pension de quelques dizaines de francs pouvait avoir envie de me gratifier d'une pièce de 20 centimes. La secrétaire à qui je versais une somme qui me paraissait astronomique n'avait pas de budget ni aucune raison de me donner quoi que ce soit.



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