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29 avril 2024 1 29 /04 /avril /2024 18:01

Ne me dites rien : je suis ivre mort...

Oh ! la honte, elle est toute bue !

Oh ! la honte, elle est toute bue !

En vrai, je serais ravi de découvrir de chaleureux commentaires !

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25 août 2023 5 25 /08 /août /2023 15:19
Un amour de morosité

Mais non, madame Minarain, je vous l'assure, il n'y a pas que moi qui sois morose. Même ce brave Blaise, toujours si vaillant et prêt à rendre service, est venu l'autre jour se plaindre de ses rhumatismes ! il y a vraiment quelque chose  qui cloche dans le quartier.

Devant une telle énigme, si j'avais encore 10 ans, en bon lecteur d'Enid Blyton, j'aurais aussitôt enfilé le short de François Gauthier pour entraîner mon petit frère, ma cousine et notre merveilleux Camembert à mener une enquête palpitante.

Trois ans plus tard , 13 ans, un fin duvet commençant à marquer ma lèvre supérieure, ayant découvert dans la caverne d'Ali Baba du grenier de mon enfance sir Arthur Conan Doyle en personne, j'aurais coiffé l'inénarrable Sherlock Holmes, habile avec sa loupe à découvrir, contrecarrer 

les briseurs de moral.

 

"Elémentaire, mon cher Watson"

 

A quinze ans, le visage un peu dévoré par l'acné, cherchant à me distinguer par des lectures moins académiques, j'enfilerai le trenchcoat de Bob Morane

pour triompher des briseurs d'humeur. Qu'ils tremblent, ces gougnafiers,

Henri Vernes saura les reconduire  sur les chemins de l' harmonie et du bonheur collectif, il est fort le bougre !

Petit a parte comme ça pour voir :

Je n'arrive pas a retrouver le titre de l'aventure de Bob dans laquelle il croise des extraterrestres qu'il reconnaît par ce qu'il ne peut pas "entendre" leurs pensées...

Est-ce que cela dit quelque chose à quelqu'un ?

 

 

 

Comment ce quartier qui semblait si agréable, où  je ne me souviens que de voisins souriants, d'enfants  formant une ronde joyeuse autour des boites aux lettres, comment a-t 'il pu, du jour au lendemain, prendre cette mine terreuse gommant, à jamais peut-être,  le sourire de ses habitants ?

Dès la première allée menant au petit bois survient un premier indice. 

Que signifie ce panonceau nouvellement installé sur nos terres, chers voisins ?

Propriété privée ça sonne comme une claque. Nous serions donc privés et ce serait pour ça, simplement pour ça toutes ces tristes mines.

On n'est jamais content d'être privé de quoi que ce soit. mais au fait, de quoi sommes nous privés ?

Privée de dessert ! C'était sans doute la menace qui était le plus souvent suivie d'exécution : simple à appliquer, à peine traumatisante pour l'enfant conscient d'avoir manqué quelque chose dans le savoir vivre qu'on exigeait de lui et, qui plus est, source d'économie non négligeable  pour la famille, dans la misère relative que nous connaissions dans l'immédiate après guerre.

Les autres menaces de sanction restaient des promesses en l'air "On va t'envoyer en  maison de correction" ou autre "Tu vas goûter de ma ceinture" faisaient bien passer un petit frisson de crainte mais restaient inaboutis, comme un nuage d'orage qui assombrit le ciel et puis passe sans avoir donné la moindre goutte...

Enfant je détestais la crème de marron. le jour où ce dessert était programmé je passais des heures à chercher quelle bêtise je pourrais commettre pour échapper à la consommation de cette pâte couleur de crotte de chien ! On peut dire que j'ai eu une enfance malheureuse...

Privée de quoi encore ? Privée d'amour parce qu'on a pas bien appliqué le rituel en trinquant à l'apéritif

 

Privée de joie, de soleil, de bains de mer, de musique suave ? 

 

Quand même pas privée d'eau, ça devient dramatique !

Tous ces arrosoirs n'y suffiront pas. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je ne parle même pas du lumbago subi à les transporter !

Un peu plus loin, en remontant l'allée, le détective attentif découvre ne nouveaux indices : "Mais, que font là ces barrières que je n'avais pas encore découvertes ? Que sont elles censées séparer ?"

 

 

 

Un amour de morosité

Espère-t-on mesurer de quel côté l'herbe est plus verte ?

Veut on rivaliser avec le faste se la place Saint Pierre au Vatican (les barrières sont plus jolies là bas et elles ont l'avantage d'être mobiles et amovibles)

 

Est-ce le seul plaisir de poser des interdits, parce que notre bonne morale  nous enseigne que c'est le moyen de bâtir une société ? 

 

 

N'a-t-on jamais peur d'aller trop loin ?       (C'est la caractéristique des aventuriers)

Qu'il a l'air triste, le giovane con canestra di frutta de Caravagio à la Villa Borghese (Roma)

Le premier homme qui a eu l'idée absurde, arbitraire, de déclarer qu'à un endroit précis il y avait une différence  entre ici et un peu plus loin nous a laissé un bien lourd héritage : c'est ainsi que Caïn a tué Abel ; c'est ainsi que débutèrent toutes les guerres, tous les holocaustes.

Mes petites filles, naguère à Rome, me titillaient lors d'une marche agréable au soleil, me demandant si je pensais qu'une guerre pouvait être justifiée. Je leur répondis que non, souhaitant établir une utopie dans la quelle ce concept n'existerait plus. Lorsqu'elles argumentèrent que l'on devait parfois se défendre, je leur répondis que ce n'était pas parce que la guerre pouvait nous être imposée qu'elle en était alors justifiée.

 

 

 

 

 

 

En 2008, Michel Serres publiait aux Editions du Cèdre Le mal propre : Polluer pour s'approprier ? qui a inspiré ce billet foutraque. vous pouvez le découvrir, ou le retrouver , en cliquant sur le titre, ci-dessus.

 

Faut-il se révolter, quelle réponse inventer pour ne pas entrer dans une escalade macabre ?

Tag photographié en mars 2006 dans une friche industrielle à Persan (Val d'Oise)

Comment retrouver  le paradis des chats, des jeunes femmes épanouies des pommes du verger et des fleurs d'aubergines ?

 

 

 

 

 

où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?
où tout cela peut-il nous mener ?

où tout cela peut-il nous mener ?

Le moral reste bon, le ciel se dégage, la privation ne va pas jusqu'à nous enlever les petites fleurs des champs, la vue sur la Seine et tant d'autres bonheurs.

Un amour de morosité
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Un amour de morosité
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19 août 2023 6 19 /08 /août /2023 15:37
Bonjour Renée
,

Grande nouvelle, cette semaine, Renée dont j'apprécie les Errances, choisit de s'abonner à mon blog. Elle s'intéresse donc à mes  petites conneries, alors que je suis bien silencieux depuis beaucoup.

C'est pas que je n'ai rien à dire, les sujets se bousculent dans ma tête mais je suis un authentique, un considérable paresseux et la pause estivale me privant des amicales sollicitations de Dômi et de ses Croqueurs jai préféré ces derniers temps rester dans mon lit douillet.

Merci, Renée, de me sortir de cette léthargie, et pour renouer avec mes chers lecteurs, j'ai choisi de vous présenter cette photo ratée : le sujet que  j'avais choisi est totalement perdu dans ce cliché montrant à L'Herbaudière (85330 Noirmoutier en l'Île) entre le restaurant d'Alexandre Couillon et son épicerie fine, Le Petit Couillon

Jugez en : il s'agissait du panonceau situé au dessus du  guidon de la moto...

On ne peut pas tout réussir dans la vie, même si l'extraordinaire succès de M. Couillon peut faire croire le contraire au pauvre raté que je suis !

(J'attends bien sûr vos commentaires consolateurs pour me sortir de ma mélancolie morbide)

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28 mai 2023 7 28 /05 /mai /2023 23:00
Gaminerie iconoclaste ~ Croqueurs  ~ défi du lundi N° 283

Cette quinzaine, pour le 283ème défi des Croqueurs de Môts, c'est moi qui m'y collais et je vous demandais

  • Pour lundi 29 mai, un texte libre évoquant le cinéma, pourquoi pas, nous sortirons tout juste du Festival de Cannes, avec des calembours bêtes en hommage à Boby Lapointe.

​​​​​​​Alors là, je me suis bien piégé moi même : impossible de retrouver la verve insolente de Monsieur Robert Lapointe. Il vous faudra donc vous contenter d'une petite déconnade dont je suis familier dans la quelle brillera l'absence d'esprit de calembour, peut-être malgré tout quelque bribe de paronomase pour donner un nom savant à mes bafouillis gâteux.

Que voulez vous : Ma Kathie m'a quitté, mon bel esprit aussi.

 

 

 

Non ! J'irai pas au cinéma.

D'abord j'aime pas les salles obscures

Tu peux rêver, tante Katia

Rentre au garage la voiture

 

Je sais, je sais, j'suis un sale mioche

Que tu voudrais bien enfermer

Entre les murs d'un cinoche

Avec les autres assemblés

 

J'veux pas aller, j'veux pas aller

J'ai pas envie, faut que tu le saches

Dans les allées me promener

Là où plus rien ne nous attache

 

J'ai peur dans l'noir

Je me sens triste

De jouer sans espoir

Le rôle d'un fieffé touriste

 

Emmène moi derrière l'écran

Dans le monde des merveilles

Où tout sourira à l'enfant

Dont la pupille étincelle...

 

 

 

 

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8 mai 2023 1 08 /05 /mai /2023 07:00

***

Les Croqueurs de Môts

Pour l'atelier Croqueurs

Croqueurs de mots à venir 

Pour ce défi 282, c'est Rose  qui propose

Pour le jeudi 04 mai :  le Muguet  

Pour le lundi 08 mai   : Votre enfance au mois de mai ou pas 

Et pour le jeudi 11 mai  : Poème  de Mai

Bourreau d'enfant ! (Croqueurs de Môts défi  #282)
Bourreau d'enfant ! (Croqueurs de Môts défi  #282)Bourreau d'enfant ! (Croqueurs de Môts défi  #282)
T'es qui, toi pour me demander l'enfance ?

Un peu ivre, sortant d'une incroyable soirée   où, m'étant copieusement ennuyé, j'avais un peu abusé du punch planteur que proposait cette belle créole que je rêvais secrètement de courtiser, retenu par une timidité avoisinant la pure crétinerie, je me suis senti agressé par l'autre soûlot. Il était lui aussi venu  retrouver ses esprits dans l'air frais de la cour de la petite école qui recevait notre confrérie de paumés.

 

-Comment t'étais  quand t'étais un marmot ?

-Est-ce que je te demande ?  En tout cas j''étais pas à l'école. J'ai passé 

 une partie de mon enfance perché dans un noyer. C'était le lieu que j'avais choisi, pas trop loin de la maison, dont le feuillage accueillant me dissimulait suffisamment pour que j'y dévore les livres de la Collection Le Masque que mes oncles ou mes grands cousins avaient laissé dans un placard du grenier. J'aimais l'odeur du grenier, le côté interdit qu'il y avait à y  fouiller. J'aimais le sentiment de transgresser en me délectant de lectures que mes parents n'avaient pas choisies. Je jubilais à la découverte d'Agatha Christie et de ses mystères. L'odeur du noyer elle aussi me comblait d'aise, comme la couleur particulière du lichen que je ne trouvais que là, avant de découvrir que le même colonisait la boîte  aux lettres. C'est là aussi, dans la bibliothèque clandestine du grenier et dans mon noyer salon de lecture que j'ai découvert Le Comte de Monte Cristo en sept volumes de la collection Nelson. C'est une lecture captivante, le savez vous ?

 

 

Lot de 12 livres anciens / Editions Nelson

Éditions Du Masque (@EditionsMasque) / Twitter

 

Merci Rose de m'avoir permis de parler de mon enfance. Tu es un belle personne !   

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27 avril 2023 4 27 /04 /avril /2023 07:00
Il y a quinze jours, à peu près,
 c'était Pâques, et cette  
occurrence a conduit
 Renée 'Envie 2' à nous demander
de parler d'œufs pour le plaisir 
des Croqueurs de Môts 

Et pour le jeudi 27 avril : un poème

avec des oeufs….sous toute forme, même

celle d’un crâne d’œuf….

Cette semaine, je me sens plus facétieux que p0ète et je vous demande d'excuser le côté trop prosaïque de ce calligramme en hommage à Guillaume Apollinaire...

Calligramme en forme d'œuf (Croqueurs de Môts #281)
Mes confuses excuses aux héritiers de Jean Vuarnet, qu'ils ne voient
 pas trop d'impertinence dans cette toquade que je prête à leur parent ! 
xxxxxxxxx

Ils sont curieux les oeufs cette année.

 

 

 

Vous pouvez toujours attendre, c'est pas demain

matin que vous aurez des oeufs de fer blanc !

 

Pâques sans pâquerette ce ne serait pas pâques !

 

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24 avril 2023 1 24 /04 /avril /2023 07:00
  
Cette quinzaine c'est Renée qui nous propose de nous
 creuser la tête. 
Encore toute à l'idée de la Pacque passée
elle nous suggère 
Pour le lundi 24 avril  :
Un texte
 humoristique de votre cru qui va nous parler du chocolat. 

Exécution ! 
J'aime pas le chocolat !
Le laboratoire de la petite pâtisserie de Gouville est en ébullition. 

Marjory, la petite crème anglaise est au bord de la crise de nerf.

 -J'aime pas le chocolat, celui la, il veut toujours se faire mousser.

Annie, la crème pâtissière qui garde toute sa fraicheur bien qu'elle ait plus 

d'ancienneté que sa jeune consœur, ce dont elle s'enorgueillît,

tente de la ramener à la raison:

- Oh ! ma cocotte, il ne faut pas te mettre dans ces états. Sèche

vite tes larmes, on va croire que tu as tourné et tu sais bien que ça met le patron

en rage !

Les oeufs sont tout chamboulés par cette ambiance glaciale, eux qui, secrètement,

ne rêvent que d'être couvés par une mère poule attentive.

 - Tu peux toujours rêver, mon coco.

La frangipane se garde bien d'intervenir, malgré l'envie qu' elle en a.

Elle grommelle dans son coin : 

- Ca va encore mal tourner pour moi je vais de nouveau

être le con de métis incapable de choisir son camp.

Marcel, le chocolat était resté impassible sur l'étagère à droite du fournil.

Il finit par murmurer, d'une voix grave et profonde ;

- Vous me faites bien rire les filles ! Rassurez vous, aujourd'hui

je ne me ferai pas mousser. J'ai regardé le programme du jour et c'est un gâteau 

marbré. Ca ne m'ennuie pas de côtoyer des gens plus clairs que moi ! 

 

 

 

 

   

Frénésie en pâtisserie (Croqueurs de môts, défi 281)
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3 avril 2023 1 03 /04 /avril /2023 07:00

 
Ce lundi Croqueurs de Môts, Annick nous propose
 "Pour le lundi 3 avril le temps et la météo: écrire un texte  
rigolo avec autant de mots en -ouille que vous le souhaitez."

C'est pas facile, ma foi, ​​​eh bien alors je vais m'y coller ( qui a dit "couiller"? On n'est pas là pour rigoler !)

 

 

Dans la cour de récréation, trois enfants passionnés, à croupetons suivent

une course de cagouilles.

 

Une femme hirsute dont la jupe pendouille survient alors.   Elle leur rappelle

qu'ouille, ouille, ouille ! la bave d'escargot ne donnera pas de gloire à la multiplication

 

              "Sept fois six quarante douille, neuf fois huit soixante douille"

 

Trois gouttes tombent , aussitôt  l'impitoyable refrain 

              "Il pleut, il mouille, c'est la fête à la grenouille"

bafouille  , entre dans ma tête en citrouille, pourquoi faut-il qu'il me chatouille ?

 

Oh ! l'andouille ! Annick nous demandait un texte rigolo, le mien est bien tristouille, est il une autre trouille ?

 

Par ma chandelle verte, Cornegidouille ! mère Ubu, cherche bien dans mes fouilles comment me sortir de cette ratatouille !

 

Une cagouille d'août 2007

 

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27 mars 2023 1 27 /03 /mars /2023 18:17
J'évoquais l​​​​​​​​​​​'autre jour le temps bien long que j'occupe déjà sur notre
 planèteprenant prétexte du temps qu'il  fait pour me livrer à quelque 
déraison climatique  qui m'amusait sans doute en n'ennuyant que peu
de monde, le nombre de mes lecteurs étant bien restreint.

Il faut que je vous dise :  je n'ai pas fini de vous ennuyer. En effet, à 

 l'adolescence,  j'ai acquis la certitude que je vivrai 138 ans. Je connaitrai

donc l'an 2084 et je veux  croire que George Orwell n'y est pas pour rien.

 

 

Il ne crèvera donc jamais ce satané vieillard !
Oh ! ils sont nombreux ceux qui, depuis Lucy, devaient vivre 
et m'ont déçu en disparaissant, mais soyez confiants, je resterai  
fidèle à mes engagements et je répète après Pierre Desproges   
 "Moi j'ai pas de cancer, j'en n'aurai jamais, je suis contre."
Il ne crèvera donc jamais ce satané vieillard !
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7 mars 2023 2 07 /03 /mars /2023 15:16

 

Et pourtant si : cela fait presque cette durée que ce blog est en sommeil, que son auteur n'a plus cherché la moindre idée pour l'alimenter.

Comme il faut bien trouver quelque chose pour redémarrer la machine poussive, j'ai choisi de renouer avec ce qui avait été mon idée de départ, idée que j'avais très vite abandonné : tirer par le plus véritable hasard une photo de mes archives, l'afficher et faire n'importe quel commentaire à son sujet.

C'est amusant que ce hasard m'amène à Noirmoutier et célèbre une de ses fiertés gustatives, sinon culinaire, la pomme de terre, justement le jour où il n'y en a que pour Alexandre Couillon et sa troisième étoile au guide Michelin.

 

Hélas ! vous vous en doutez, cela coûte un bras, mais on peut dire s'on se régale... Et puis pour compenser, manger des pommes de terre tout le reste du mois.

Oui madame la diététicienne, avec tout le respect que je vous dois, je sais bien que mon conseil est de fort mauvais goût. Qui se lèche les babines se mordra les doigts.

J'espère vous donner des nouvelles sans attendre MMXXVIII 2028.

 

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Présentation

  • : quelques conneries sans prétentions
  • : De petits délires inoffensifs, conçus à la hâte et publiés avant toute réflexion. Si vous y trouvez ne serait ce que l'ombre d'un sourire vous m'en verrez ravi et récompensé de la peine que j'ai prise. Je ne le crains pas le ridicule. J'ai parfois quelque remord, un tantinet d'autocensure pourrait parfois m'éviter une rougeur confuse, mais la vie est trop courte pour être sérieux.
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